AJ & LR

28.05.22

« LE SOLEIL COUCHÉ, DES NUAGES MASQUAIENT LA LUNE ET LES ÉTOILES »

LANCEMENT + CHRONIQUE + DISPOSITIF, 28.05.21 — 11h

Un projet initié et réalisé par Anouk Jeanningros et Loïs Renou

Chronique: Léonie Montjarret

Dispositif: Éli Cumin

 

Ce catalogue « exposition » est un projet réalisé pour et par les jeunes diplômés des promotions 2020 et 2021 de l'Institut Supérieur des Beaux-Arts de Besançon. L'objet éditorial aura pour but de matérialiser et de présenter les travaux des promotions diplômées qui n’ont pas pu proposer et exposer leurs travaux en présentiel dans les conditions habituelles de diplômes. Il permettra à ces étudiant.e.s d’avoir un objet qui valorisera le travail de recherche qu’ils.elles ont mené pendant presque une année et qui n’a pas pu voir le jours à cause des conditions sanitaires.
(avec le soutien du dispositif CulturePro, Ministère de la Culture)

MD & AR

26.06 — 15.07.21

 

MÉLISSA DIDIER & ALEXIS ROBERT — « FLUIDE NON-NEWTONIEN »,

EXPOSITION, 26.06 — 15.07.2021. Vernissage le samedi 26 juin à 11h

 

Un entre-deux, liquide et solide à la fois

Fière, elle tient miraculeusement sur ses petites pattes

Une invasion de limaces comme fil conducteur

Quelque chose qui vient d’ailleurs et non du travail en soit

Un ruisselement au ralenti, qui se déplace mollement

C’était le printemps, on jardinait beaucoup

Ma grand-mère garde tout, on ne sait jamais, ça peut servir

Un équilibre à trouver pour cette structure mouvante

Je sublime les parties abîmées avec des fleurs séchées

Toute la déco est en lépoard, un côté kitsch assumé

Tout s’assemble, se complète, et tient comme par magie

Dormant sous la poussière, les objets nous attendent

Une construction fragile prend forme sous nos yeux

Ça coule un peu, mais pas vraiment

Comme un refuge, un lieu sacré, une sorte de bosquet

Des accointances avec ces objets qui nous entourent

Est-ce qu’il y a quelque chose au fond de ce tiroir ?

Tout s’est imbriqué parfaitement, un alignement des planètes !

On se positionne au hasard de nos trouvailles

On détourne, on recycle, on déplace, on ajuste

Un cabinet de curiosité ou plutôt un studiolo improvisé

HSB & HP

04.07.20

image de palmier

 

« LET IT SNOW », PROJECTION, 19.12.2019, 20H-23H

 

THE RESPONSIVE EYE, BRIAN DE PALMA, 1966.

WAVELENGTH, MICHAEL SNOW, 1967.

 

HUGO SCHUWER-BOSS & HUGO PERNET — « SOLSTICE », EXPOSITION, 04.07.20. Vernissage le samedi 04 juillet à 12h

 

Une exposition de peintures abstraites et figuratives, qui réinvesti les ambitions oubliées du modernisme. Comme une scène perdu de L'après-midi d'un faune ou du Sacre du Printemps.

SD

LIS

13.10 — 09.11.19

19.12.19

 

SÉPÀND DANESH — « DEGRÉ ZÉRO DU HUB », EXPOSITION, 13.10 — 09.11.2019. Vernissage le samedi 12 octobre à 11h

 

   À travers le dessin, la peinture et des workshops, Sépànd Danesh traite du sujet de l’empêchement sous toutes ses formes. Soutenu par le Cnap en 2017, il a réalisé un séjour d’étude à Los Angeles qui a abouti à la création d’un programme de recherche nommé HUBTOPIA, un néologisme composé de HUB (points d’entrées et de sorties multiples et

non-hiérarchiques dans la représentation et l’interprétation de données structurées par une dynamique de dispersion comme modèle sous-jacent à tout ce que nous faisons) et de TOPIA, du grec ancien Topos (place) se référant à une méthode de développement d’arguments. HUBTOPIA comprend à la fois des événements (conférences, tables rondes, workshops), un pôle édition et un pôle numérique. Lors de l’exposition, des dessins, des peintures et une production originale seront présentés.

 

   Pour la cinquième édition du programme Suite, le Centre national des arts plastiques (Cnap), en partenariat avec l’ADAGP, s’associe avec des lieux indépendants pilotés par des artistes ou de jeunes commissaires soucieux de renouveler les pratiques curatoriales. Il souhaite ainsi donner une visibilité publique à une sélection de projets ayant bénéficié d’un soutien à un artistique du Cnap en les accompagnant dans le cadre d’une exposition.

sepanddanesh.com

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RL

18.05 — 31.05.19

 

RACHEL LABASTIE — « L’ENVOLÉE », EXPOSITION, 18.05 au 31.05 2019

 

   Rachel Labastie est née en 1978 à Bayonne, France. Elle vit et travaille entre Bruxelles et Madrid et est représentée par la galerie Analix Forever, Genève. Diplômée de l’école des Beaux-Arts de Lyon en 2003. Manipulant

les paradoxes, jouant sur l’ambiguïté de formes à la fois séduisantes et dérangeantes, Rachel Labastie pose un regard critique sur les modes d’aliénation physique et mentale produits par une société toujours plus encline à contrôler

les corps et les esprits. Dans un permanent jeu de forces contraires, elle nous invite à voir au-delà de l’apparence des choses. Lachées dans l’exposition, des haches, fichées dans les murs, donnent le ton du travail de Rachel Labastie. Force, guerre, pulsion, rage, sang et sueur… toutes ces tensions féroces façonnent ces objets aux accents barbares. Véritable outil de civilisation, la hache a aussi permis le défrichement des forêts pour installer l’agriculture et inventer le paysage. En les réalisant en terre cuite, Rachel Labatie accentue la dualité que contiennent ces haches, à la fois dures et molles, comme figées en plein mouvement: celle de la force vitale liée

à la pulsion de mort. Leur déformation est due aux techniques de cuisson, au passage du cru au cuit, qui donnent

cet aspect quelque peu vrillé aux haches plantées dans les murs.

www.rachellabastie.net

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JM, HP, LV

18.04.19

Jérémy Ménagé, Hugo Pernet et Laura Vazquez

 

JÉRÉMY MÉNAGÉ, HUGO PERNET & LAURA VAZQUEZ — « LE CŒUR BAT NORMALEMENT », LECTURE/POÉSIE/LANCEMENT ÉDITION, 20.04.2019 — 20h (avec les éditions Vanloo)

 

   LAURA VAZQUEZ, née en 1986 à Perpignan, est une poétesse française, lauréate du prix de la vocation en poésie 2014. Elle vit actuellement à Marseille. Après des études de lettres modernes, Laura Vazquez entame un doctorat consacré

aux formes poétiques contemporaines intermédiatiques, à travers les œuvres de Christophe Tarkos et de Thomas Braichet. Elle écrit de la poésie, des pièces poétiques sonores et pratique la lecture publique de ses textes, à ce titre,

elle collabore régulièrement avec la musicienne Clara de Asís. Elle co-dirige la revue Muscle avec Arno Calleja. www.lauralisavazquez.com

 

   HUGO PERNET, né en 1983 à Paris. Il vit et travaille à Dijon. Artiste et poète, il a présenté son travail dans

de nombreuses expositions personnelles, notamment en galerie (Triple V à Paris, Super Dakota à Bruxelles, Joy de Rouvre à Genève), mais aussi dans de grandes institutions comme le Mamco à Genève (en 2015) ou encore le Palais de Tokyo à Paris (en 2009). Il a également participé à diverses expositions collectives : à la Villa Médicis à Rome,

la Villa Arson à Nice, au Magasin à Grenoble, au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, au Musée d’Art Contemporain de Lyon... dans des centres d’art comme La Galerie à Noisy-le-Sec ou La Salle de Bains à Lyon, ainsi que dans des lieux indépendants ou des galeries, en France et à l’internationale (Zurich, New York...). Ses œuvres sont présentes dans plusieurs collections publiques (Cnap, Frac Limousin, Frac Aquitaine, Frac Bourgogne, Musée d’art contemporain

de Lyon) et privées. Il est représenté par les galeries Super Dakota à Bruxelles et Joy de Rouvre à Genève. Poèmes, textes théoriques et critiques sont parus dans les revues Moriturus, Boxon, Action restreinte, Livraison, Muscle,

La tête et les cornes, sur les sites Internet Sitaudis, Myopies, Les cahiers de Benjy, Poezibao, Remue.net, Watts, ainsi que dans les revues d’art contemporain 04, 02 et Annual magazine.

hugopernet.com

 

   JÉRÉMY MÉNAGÉ, diplômé (MASTER ART) de l’institut supérieur des beaux-arts de Besançon, 2019

jeremymenage.com

OL, KN

01.12.18

Karl Nawrot
Olivier Lebrun

 

OLIVIER LEBRUN & KARL NAWROT — « A FINAL COMPANION TO BOOK FROM THE SIMPSONS + MIND WALKS », LANCEMENT, CONFÉRENCES, 01.12.2018 — 11H

 

   OLIVIER LEBRUN, graphiste, produit dans son travail et son enseignement des projets d’édition s’intéressant aux rapports qu’entretiennent contenant et contenus. Il est l’auteur de Stolen Works of Art (2010), de A Pocket Companion / Another Companion / A Final Companion to Books from The Simpsons in Alphabetical Order (Rollo Press, 2012 / 2013, Yellow Pages, 2018), Intrus Sympathiques, une quasi monographie sur le graphiste Bernard Chadebec

(Rollo Press, 2016), en collaboration avec la HfG Karlsruhe et Urs Lehni avec qui il fonde la structure de publication Yellow Pages en 2018. Depuis 2010 il poursuit le projet De Stihl avec Olivier Lellouche, au sein duquel ils provoquent installations et workshops (Paris, Londres, Milan, Eindhoven, Detroit, Prishtina). En 2015, il initie avec Alex

Balgiu Bibliomania, sous forme de pièce restituée à S-P-E-E-C-H (Anvers, 2015), à la Kunstverein d’Amsterdam (2016),

sous la forme d’une résidence en ligne Royal Garden IX, au Credac à Ivry (2018) et lors du Chapter Buchsalon IX,

à Zurich (2018). Il enseigne le design éditorial à l’Ensba Lyon, et donne des lectures en France et à l’étranger.

olivierlebrun.fr

 

   KARL NAWROT (alias Walter Warton) combine le dessin, la sculpture, la création de caractères typographiques

et l’illustration afin d’explorer les récits potentiels entre des tracés enfantins et des formes violentes, des structures architecturales et des espaces surréalistes déformés. Il a étudié l’illustration à l’école Émile Cohl (Lyon), et le design graphique au Werkplaats Typografie (Arnhem). Sa série d’expositions personnelles, Mind Walk,

I, II, III, a été présentée en 2013 à Eastside Projects (Birmingham), en 2014 à Gallery Factory (Séoul), et en 2015

au Bel Ordinaire (Pau).

   Associant depuis 2008 une pratique de graphiste indépendant et d’enseignant (Gerrit Rietveld Academie, Université

de Séoul, Ensba Lyon, Écal, Head, HfG Karlsruhe), Karl Nawrot a été lauréat du 1er prix du concours international

du graphisme de Chaumont en 2015 et du prix Inform for conceptual design en 2016, décerné par la Galerie für Zeitgenössische Kunst (Leipzig), où il expose en octobre 2017.

www.voidwreck.com

 

01. A FINAL COMPANION TO BOOKS FROM THE SIMPSONS (NEW UPDATED EDITION) — auteur Olivier Lebrun, format 110x180mm, nombre de pages 640p., impression offset 1 couleur sur papier jaune + couverture souple 2 rabats, éditeur Yellow Pages n°002, ISBN 978-3-906213-24-8

02. MIND WALKS — auteur Karl Nawrot, format 170x240mm, nombre de pages 500p., impression offset 1 couleur, éditeur Rollo Press, (avec le soutien du Centre national des arts plastiques et le Centre national du graphisme, Chaumont), ISBN 978-3-906213-23-1

yellow-pages.wtf - rollo-press.com

BS

19.05.18 — 31.05.18

Bettina Samson
bettina Samson
Bettina Samson
bettina Samson

 

BETTINA SAMSON — «DEEP WAVES IN A SWAMP», EXPOSITION, 19.05 au 31.05 2018

 

   Née en 1978, Bettina Samson est diplômée de l’École nationale des Beaux-Arts de Lyon en 2003. Elle débute

ses projets artistiques à Marseille en poursuivant parallèlement des résidences d’artistes. Depuis 2012, elle vit

et travaille à Aubervilliers.

 

   Bettina Samson développe une pratique plastique dont les pièces protéiformes se nourrissent de faits socio-historiques ou scientifiques et de l’histoire de la modernité dont elles croise les éléments documentaires avec

des histoires ou des anecdotes parallèles. Pour chaque projet,elle détermine avec soin les matériaux et techniques, souvent artisanales, aptes à condenser ses recherches, n’hésitant pas à intégrer l’accident, les coïncidences ou

des formes improvisées. Attentive aux rapports d’échelle et à la temporalité de l’exposition, elle y laisse jouer

des principes de réversibilité et de continuité entre forme et informe, appropriation et métamorphose.

   Pour Sunset, elle réalise des pièces à la prestance élastique, protagonistes d’un paysage presque liquide, artificiel et toxique. Nombre d’entre elles sont passées auparavant par des états de souplesse ou de viscosité soudaine. Empreintes de mollesse ou soumises à la gravité, elles semblent vivre, vives et décadentes, et s’adresser

à nous tel des « robots affectifs », inspirants des sentiments de familiarité, d’empathie et d’étrangeté. Leur raison d’être, parfois obscure, est à rechercher aussi bien dans sa fascination pour les pâtes viscoélastiques que pour les rituels initiatiques et alchimiques, pour les écrits de Sergueï Eisenstein sur Walt Disney et pour celui du « Rituel

du Serpent » d’Aby Warburg, pour les capitaux Putty-Putty, entièrement réversibles et flexibles et finalement,

pour la couverture d’une partition d’un morceau de musique sentimentale douce-amère de 1910, dénichée il y a quatre

ans à New-York, arborant la représentation d’un paysage de marécage, bayou aux couleurs magnifiques, irréalistes, énigmatiques, ambigües, que Bettina Samson ne peut s’empêcher de relier à l’ordre social implacable régnant dans

le « Sud profond » de l’époque.

www.galeriesultana.com/artists/bettina-samson

SG

20.05 — 10.06.17

 

SÉBASTIEN GOUJU — « FOR THE BIRDS », EXPOSITION, 20.05 au 10.06 2017

 

Né en 1978 à Nancy, Sébastien Gouju vit et travaille à Paris.

 

LÀ OÙ LES DÉTAILS SE CACHENT

   Sébastien Gouju génère une pratique reposant sur une mécanique dichotomique : revers/face, dedans/dehors, réel/factice, main/machine, présence/absence. Une mécanique elle-même composée d’une multitude de mécanismes ludiques, critiques et physiques. Parce qu’il est avant tout question de perception, de processus et d’appréhension, il sollicite un imaginaire et une sensibilité en voie de disparition. Le jeu motive les œuvres. Pour cela, il jongle habilement avec les références, les territoires et les époques afin de nous amener à prêter davantage attention

aux formes et aux objets. Il nous invite à repenser le réel en s’appropriant plus particulièrement des objets et

des motifs provenant d’une imagerie populaire et domestique.

   Un jeu de cartes composé de 54 pièces est ainsi totalement reconfiguré (Parties de Cartes, 2013). Le carton fait

place à la feuille d’inox. La lecture des couleurs, des figures et des enseignes est perturbée par la découpe au laser d’ornements végétaux. L’envers se mêle à l’endroit. Un véritable travail d’orfèvre est réalisé au moyen d’une machine de type industriel. Un basculement s’opère. Le précieux tutoie le sériel. L’artiste développe une réflexion sur

les rapports qui existent entre l’homme et la machine, l’ouvrage manuel et l’ouvrage industriel, par extension entre l’art et l’artisanat. Il accorde une attention particulière aux processus de réalisation de chaque pièce qui fait appel à une collaboration, une technique, un outil. Habituellement utilisés dans le domaine industriel, les outils choisis sont combinés avec un savoir-faire spécifique (métal, verre, céramique, textile). Une bataille technique entre l’œil, la main et la machine s’installe pour mettre à jour une iconographie fouillée dont la filiation avec les arts décoratifs se confirme. De la même manière, la série Les Fleurs du Mal (2013) croise les registres de lecture. Deux formats prétendument mineurs sont associés: la broderie (réalisée au moyen de machines industrielles) et la nature morte (des oiseaux et des papillons morts jonchent aux pieds de fleurs vénéneuses).

   L’artiste se joue ainsi d’une manufacture factice posant la question du temps de la réalisation de l’œuvre.

Un temps et un retour à la main que nous observons dans ses dessins méticuleusement construits. En articulant des glissements matériels et conceptuels, Sébastien Gouju brouille les pistes, il fouille les marges de la création

pour élargir un couloir étroit et uniforme qu’il refuse d’emprunter.(Julie Crenn, critique et historienne d’art)

www.sebastiengouju.com

HS—B

04.06 — 10.06.17

 

HUGO SCHÜWER-BOSS — « TORRENT », EXPOSITION, 04.06 2017

 

Né à Poitiers en 1981 (FR-CH), vit et travaille à Besancon (FR).

 

   Dans les derniers tableaux d’Hugo Schüwer Boss, la légèreté, la lumière, la perfection semblent faire leur retour. Ses nouvelles «arches» recréent de toute pièce un fantôme d’architecture romane dans l’espace d’exposition, quand leurs couleurs flamboyantes nous emmènent plutôt du coté de l’Orient. Pris individuellement, ces tableaux sont

de pures abstractions, mais ils anticipent dans leur composition un accrochage en série qui les transforme en panneaux

de trompe-l’œil. À un tel point qu’on ne peut plus décider de la nature ni du rôle du tableau : faut-il regarder

le dégradé en tant que surface peinte, le voir comme on regarderait un soleil couchant à travers une ouverture,

ou considérer l’espace d’exposition comme le négatif de la composition ?

   Historiquement, la peinture est ce qui s’est détaché du mur pour devenir un objet autonome: les arches d’HS-B nous déstabilisent parce qu’elles assument à la fois le statut de tableau et celui de panneau décoratif, et ne nous disent pas si on doit céder à l’illusion ou s’en tenir à «ce qu’on voit». Les autres peintures de la série nous portent encore plus loin dans la contemplation, et renouent avec les origines mystiques de l’abstraction. Elles figurent

sans figurer des disques solaires, tels qu’auraient pu les styliser une civilisation disparue adorateurs des astres.

Il s’agit de cercles jaunes ou orangés, parfaitement circonscrits dans des formats carrés dont les parties non-peintes (tout ce qui est en dehors de la forme, donc) sont laissées en réserve. La plus simple des abstractions possibles, mais là encore traitée de manière ambigüe : à travers la transparence des dégradés et la douceur du contraste entre toile brute et couleur, ses peintures nous emportent très loin et nous gardent tout près d’elles. (H. Pernet, 01.2019)

hugoschuwerboss.com

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